Par Simon Kinsey, stagiaire à la FCCT
Pour quiconque jette un bref regard sur l’histoire des coopératives de travail, la remarquable flexibilité de ce modèle saute aux yeux. Au Canada seulement, les exemples de gens qui se tournent vers cette structure abondent : pour sauver leurs emplois ou pour en créer de nouveaux, pour fournir un service à leur communauté, pour disposer d’une autonomie accrue, pour expérimenter des modalités subversives de détention de biens et de propriétés, pour échapper au marché du salariat ou pour construire une forme d’activité économique hors norme.